COVID-19.L’évolution de l’épidémie en France

COVID-19.Le calendrier de reprise des activités

Suivez l'évolution de la pandémie de COVID-19 en France.

Préambule:

                            Les chiffres montrent clairement que l’épidémie se termine sur le territoire métropolitain et qu’il n’y aura surement aucune seconde ou de troisième vague agitées comme une menace  par certains médecins alarmistes et autres politiques qui , si on les avait écoutés , nous auraient gardé confinés jusqu’à la fin de l’année.     

                            Ces médecins alarmistes ne sont, en fait, que le relai  de la peur des politiques qui  redoutent d’être un jour accusés d’une quelconque responsabilité dans la mort de l’un ou de l’autre pour avoir relâché la pression trop tôt.

                              Le virus circule toujours par endroit mais a perdu de sa  dangerosité. Ce phénomène  s’explique par le fait que les souches les plus dangereuses disparaissent en tuant leurs hôtes et, de ce fait, ne peuvent plus migrer vers un autre réceptacle. Seules restent les souches les moins virulentes. Ceci est expliqué à cet endroit. Ce qui induit donc que d’un point de vue purement épidémiologique il serait plus efficace et plus intéressant de ne plus confiner et de laisser ce virus affaiblit circuler librement afin d’atteindre un niveau d’immunité collective de 50 à 60 % de la population. En agissant de cette façon les virus disparaitrait en quelques semaines alors que nous risquons de les supporter encore de longs mois (ou année..) à vouloir trop nous protéger . Ce qui n’empêche pas aux  personnes les plus fragiles de continué de le faire en continuant de porter des masques et en évitant les contacts trop rapprochés.

L'évolution de l'épidémie

                      Pour les épidémiologistes l’évolution d’une maladie se constate en suivant le nombre de décès causé par cette même maladie. Samedi 11 juillet et pour la première fois depuis février , il n’a été constaté aucun  nouveaux décès en France.  Il et donc évident que l’épidémie marque un net recul et même un coup d’arrêt.  Le nombre d’hospitalisations et de décès baissent régulièrement (soit une moyenne de 15 décès  pour les dix derniers jours).  Le nombre d’hospitalisations baisse aussi régulièrement mais en raison de nombreux rattrapages statistiques il est dificile d’avoir des chiffres précis, la moyenne est de 7,4 par jour pour les dix derniers jours  contre  4281 hospitalisations le 2 avril , ainsi que les entrées en réanimation 7,8 les dix derniers jours contre  771 au plus fort de la crise. Il y a chaque jour moins de personnes qui entrent en réanimation 0 hier , soit une moyenne de 7 à 8 pour les dix derniers jours avec un total de 496 malades  toujours dans les services de réanimation aujourd’hui.. Ce qui ne représente plus rien vis à vis d’une population de 67 millions de personnes.

Deux  personnes  décèderaient en moyenne par jour en EHPAD pour cause de covid-19 en date du 11 juillet.

A la vue du nombre très faible de cas de COVID-19  ces derniers jours , il est très certainement possible d’affirmer que le plus gros de la crise est derrière nous et que l’épidémie, en France, est en passe de se terminer ou est terminée (hors Guyane et Mayotte) .

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Les variations importantes sur les courbes  peuvent aussi venir de la façon dont sont faites les déclarations de décès et autres et de l’enregistrement statistique de ces cas avec des rattrapages réguliers en positif ou en négatif.

 
Cliquez sur les images pour les agrandir.

Si l’on prolonge la courbe suivante de façon statistique, il ne devrait plus y avoir de malade du COVID-19 en réanimation dans 24 jours soit vers la fin juillet, début aout. D’autres calculs sur d’autres courbes montrent les mêmes résultats à quelques jours près.

Sur la courbe suivante 14 personnes sont décédées le 19 juin . C’est personnes ont été touchées par le virus il y a  plusieurs jours et même plusieurs semaines pour certains se trouvant en réanimation.

Sur la courbe suivante on voit une nette remontée des cas de COVID-19. Cette remontée est due aux grands nombres de tests pratiqués dans toute la France. Précédemment le comptage des cas était basé sur le nombre d’entrée dans les hôpitaux.

Nota Bene : Santé Publique France explique le chiffre du 6 mai comme un rattrapage rétroactif depuis le 16/03/2020 par un nouveau laboratoire. L’augmentation journalière réelle est de 939.

© Tous les droits sont réservés

Fait avec ❤ par Philippe Boyer

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