
A entendre les uns et les autres- Les journalistes, certains médecins et autres imminents professeurs qui sont tous autant d’oiseaux de mauvaise augure- L’épidémie galoperait à une vitesse folle , nous mettant tous ainsi en danger de mort éminente. Mais quand on regarde la réalité des chiffres on ne voit aucune courbe croissant à des vitesses exponentielles. Au contraire, dans leurs globalités les courbes sont en train de redescendre doucement mais surement. Il y a bien sur quelques départements, surtout certaines grandes métropoles comme Marseille ou il subsiste des tension en réanimation sans que ce soit, pour autant, une catastrophe sanitaire.
Afin de se faire une idée de la situation, il a été choisi la région du Grand Est et ses dix départements pour comprendre l’évolution de l’épidémie en observant les courbes d’occupation des services de réanimation le 30 janvier 2021. Région qui compte 5 549 586 soit 8,5 % de la population française.
Il y a, aujourd’hui 30 janvier, 323 personnes en réanimation , ce qui représente un pourcentage de 0.0058 % de la population.
La situation globale dans le Grand Est
La ligne bleu représente la situation au niveau national.
La ligne rouge au niveau régionale.
Il y a aujourd’hui, au niveau national, 3103 personnes hospitalisées dans les services de réanimation. Ce qui représente pour une population de 67 848 156 habitants un pourcentage de 0.0045 % , une personne sur 305316. C’est à dire une proportion infime loin d’un désastre généralisé.
Ce qui induit forcement la question suivante: pourquoi autant de restrictions, qui vont avoir une répercussion dramatique sur la France et les français, pour si peu de cas ?…
Même si certains départements sont au dessus de la moyenne nationale (en rouge) cela reste dans une proportion minime au regard de leu population.